brume

Brume

La fumé qui sortait d’entre ses lèvres s’élevais et formée de jolies arabesques sans aucun sens.
Il admira les nombreuses nuances de blanc et de gris. Son regard vint caresser les photos en noires et blancs qui semblaient être la simple continuité de sa fumée de cigarette. Il se dit que c’était beau comme de jolies planches d’art modern qui n’ont aucun sens ni aucune raison d’être. « c’est tellement joli que je pourrait en tapissait les murs de ma chambre » pensa-t-il en souriant.
Quittant ses pensées poétiques il examina mieux les jolies tableaux.
Il s’attarda sur la belles taches blanche qui s’entortillait autour des petites branches noires et il se dit.
« ho…ce n’est pas bon du tout ça »
Il le savait il avait assez regarder de film qui traité du sujet pour comprendre ce que cela représentait.
- veuillez m’éteindre cela tout de suite!
Il hoqueta de surprise et éteint sa cigarette sans condition.
- c’est terminé…
Il eu un petit rictus nerveux.
- je sais, répondit t-il
- je suis désolé…. il va falloir vous préparer…vous avez des dispositions a prendre.
- j’en suis conscient….

***

Il sortir du bâtiment hospitalier et alluma un cylindre détressant.
Il emplit ses poumons fatigué de cette délicieuse fumée pleines d’arome. Il regarda la cigarette et la jeta dans le caniveau.
« humpf ce n’est pas très malin »
Il marcha sous la pluie, il n’était pas pressé il avait le temps, oui il avait tout son temps.
C’est beau Tokyo quant il pleut, c’est triste et beau, comme cet homme qui se demande comment sa vie va être maintenant que les choses vont changer, il à l’impression qu’il vient de naître et qu ’il commence seulement a vivre et la vie il trouve ça merveilleux, oui vraiment c’est merveilleux…il aime ça avec violence pour la première fois.
« ha comme j’ai été bête de ne pas m’en rendre compte plus tôt »
Cette pensée lui donne envi de pousser des cris d’allégresse et en même temps de fondre en larme.
Il n’a pas envi de rentrer chez lui il n’a rien a y faire et personne ne l’y attend alors il s’assoit sur le premier banc qu’il trouve et il se met a utiliser cette merveilleuse faculté humaine qu’est « penser ». Penser à lui à la vie, à la mort et aux gens qu’il aime…a cette personne bien particulière à qui il n’est plus sur de vouloir avouer tout son amour….c’est fatiguant de penser….vraiment…..